À propos

Tu n’as pas à être Victor Hugo pour écrire et être publié.

Et pourtant, c’est ce que j’ai longtemps cru. 

Peut-être à cause des nombreuses fois où j’ai entendu mon entourage me seriner :

« – Artiste, c’est une vocation. Si tu dois écrire, l’écriture trouvera le chemin jusqu’à toi 

– Écrire n’est pas un vrai métier, c’est une passion

– Le talent est inné, tout comme l’inspiration.»

Tous ces préjugés m’ont bloqué.

Pendant longtemps. 

J’écris des histoires depuis que je sais lire. J’ai toujours adoré ça. 

Mais en grandissant je me suis laissée submerger par une petite voix intérieure me susurrant mon illégitimité. 

Persuadée que seule une petite élite peut être auteur.

Bullshit. Conneries.

Je le sais maintenant.

Le génie n’existe pas. 

On ne nait pas écrivain, on le devient

Grâce à l’état d’esprit, la méthode et la pratique

« L’écriture, c’est 5 % d’inspiration et 95 % de transpiration.» (Isaac Asimov)

Les compétences et le savoir-faire ne tombent pas du ciel, comme si une bonne fée nous en avait doté.

J’ai lu des dizaines de livres, essais théoriques et pratiques sur le sujet, suivi des cours, participé à des ateliers d’écriture, observé les structures des fictions.

Pourquoi ça fonctionnait. Ou pourquoi ça ne fonctionnait pas. 

Et j’ai beaucoup écrit.

Détachée de mon propre jugement, j’ai  assumé d’échouer, je me suis amusée et libérée.

Et bien sûr, j’ai accepté d’être Moi et non Victor Hugo 😉

Par ailleurs, l’époque a changé : internet a ouvert des possibilités qui n’existaient pas, il y a encore une dizaine d’années. 

Vivre de son écriture n’est plus réservé à quelques chanceux élus.

Grâce notamment à l’autoédition.

L’autoédition est un choix gagnant et éclairé et non par défaut, avec de nombreux avantages :

  • Liberté créative
  • Rapidité
  • Une plus grande part des revenus
  • Une porte d’entrée pour se faire remarquer par l’édition traditionnelle

Le meilleur ?

L‘autoédition est accessible à tous,  pas besoin d’être expert en technologies.

Écrire des livres de qualité professionnelle, les autopublier pour les vendre s’apprend. 

Oui, ça demande du travail, mais c’est possible.  

Oui, tu peux vivre de tes écrits, ou travailler à temps partiel et te constituer un complément de revenu.

Moi, c’est Marlène Miraglio. 

J’écris de la fiction et j’aide les futurs artisans-romancier à se forger des outils sur mesure pour mettre un point final à leur projet et le faire connaitre grâce à l’autoédition.